dimanche 2 septembre 2012

Emission 9


Chers amis, visiteurs et autres pourritures communistes,

Tout va de mal en pis. Ma connexion se dégrade de jour en jour (un peu comme vos mères) et obtenir quelques captures d'écran s'avère être un véritable parcours du combattant. Puis je manque de temps, rapport au fait que j'ai toujours dit non à l'avortement.
De plus, on ne va pas se mentir, cette émission commence à se faire longue. Longue et molle.
Maaais je m'accroche. Finalement, résumer l'Amour est dans le pré, en ce moment, c'est un peu le combat de ma vie.

Sur ce, filons chez Solange. Comme ça on sera bien débarrassé.
D'abord le chien. Le chien qui est corse et qui t'emmerde.



Ensuite, Cyril. Qui demande à Solange si elle serait "prête à faire des efforts sur son physique, perdre un peu de poids, des trucs comme ça..."

"Parce que moi j'aime bien être avec quelqu'un qui soit du même poids, soit plus léger que moi."

"Un petit peu d'activité, c'est bon."








Puis le famous câlin collectif. Parce que Solange a finalement dit adios muchachos à ses deux prétendants.


 Et enfin le chien corse. Qui t'emmerde toujours mais dans l'autre sens.


Et voilà. Salut Solange. Bonne bourre.



Chez Philippe.
Une vanne.

Pascaline: " Tu montes pas derrière Isabelle ? Avec le matériel. Nan ?"











Puis le bain de peaux mortes.


Et enfin un tour dans la Renault Alpine de Pascaline qui aurait tendance à se prendre pour schumi.
Comme quoi les mentons.


Bon. Mais sinon ce pauvre Philippe est toujours pétri de doutes.



Chez Bruno.
Nancy est partie. Parce qu'elle avait des problèmes de santé toussa.
Alors Bruno est resté avec Annie. Puis il a fini par s'en accommoder. Mais moi, la vérité je la sens pas cette histoire.
Voyez-vous, je suis très sensible aux signes. Et là, pour moi, ça pue un peu la mort du cul.

Ici, une hache au sol.
Une hache de feu, brother.



Et là, rien de moins qu'Alice Sapritch en arrière-plan. Revenue en guest depuis le royaume des morts.



J'aurais prévenu.


Chez Hugo.
Bon déjà il a pris un coup de boule par une vache. Ce qui dans les croyances agricoles annonce l'imminence d'une séparation, comme nous le savons tous.


Et donc Yamina est partie. Parce que soi-disant elle avait mal suite à son opération de la pendisite.
Du coup elle est partie sans même taper la bise à Hugo. En penchant dangereusement de côté. Sur la musique du somptueux dernier épisode de Six feet under. Ce qui fait que j'ai attendu, attendu qu'elle s'écroule complètement morte, qu'une vache folle vienne la dévorer ou qu'un tracteur la moquette sans crier gare mais nan. Rien. Pas de faucheuse à l'horizon.


Mais c'est pas grave parce que ce brave Hugo a quand même organisé une petite bouffe avec ses amis et a confié à la caméra que parmi ses amies, il y en avait une qui éventuellement...
C'était bien la peine de venir s'afficher tout l'été sur M6 avec une coupe de merde.






Chez Thierry.
On a cru que ça n'arriverait jamais mais finalement Bénédicte a compris. Et part.
A la gare, Thierry lui dit en lui tapotant la tête:


" Petit rayon de soleil.
Tout le bonheur, tout mon coeur !
Allez. "









C'est un moment plein d'émotion et de pulls à rayures.
Annie pleure.
Béné dit que "C'était magique"

 C'est souvent comme ça que ça se passe à la gare de Villedieu les Poêles.

Au retour, Annie confie à son beau Thierry:

Annie: J'ai l'impression de me sentir un peu plus chez moi !

Thierry: Mais je l'ai vu ! Tu prends déjà tes décisiatives de toute façon."








Mais après un bon petit-dej, il est temps de retourner au travail.


Thierry: Allez, on va frotter les mamelles, c'est là que j'aime bien mettre les mains moi."










Entre 2 tirages de gougouttes de vache, Thierry annonce qu'il a envie de "construire un enfant" (avec Annie) et de faire un mariage avec beaucoup de fleurs. Parce qu'il aime les fleurs.


Love.

Sa maman est elle aussi comblée de jouah. D'autant qu'Annie est travailleuse.


Pour fêter ce tout grand amour, Thierry invite une nouvelle fois sa belle au restaurant.
Sorbet aux huitres et superposition de pulls. Rien n'est trop beau.


Et la soirée enchantée de l'amour ne s'arrête pas là puisque Thierry, lancé comme un taureau fou aux bourses de feu, a prévu d'offrir à Annie une nuit inoubliable en réservant une chambre à l'hôtel du restaurant.


" Pour t'offrir un petit peu de plaisir et pis beaucoup d'amitié quoi."










La chambre est somptueuse.
La vérité, tout cet amour ça fait plaisir. Mais quand même y'a des trucs qu'on préfère ne pas voir. Comme cette dernière image offerte par le cameraman par exemple.
C'est gentil mais ça glace l'échine tout de même.


Qui c'est qui va se faire frotter les mamelles ?


Oh seigneur, vite, regardons courir des cochons corses, les oreilles dans les yeux, et oublions.


Voilà.

Le lendemain c'est tour en mer.


Thierry n'a jamais été si heureux. Il jubile comme aucun homme n'a jamais jubilé.
Puis il aime.

" C'est la mer qui prend l'homme ou c'est la mer qui prend la femme ?
Bah aujourd'hui ça va être l'homme qui prend la femme."









" Monte par là, bébé. On va faire un bisou lô ! "











Et ce qui est beau, ce qui est vraiment beau, c'est qu'Annie monte.
Toujours.




A suivre...