mercredi 25 juillet 2012

Emission 4

Voilà. Valises posées, chambres choisies, courses faites. La semaine la plus déterminante de leur vie peut vraiment commencer.
Tous ont vu débuter cette première journée par un lever de soleil et un petit-dej.
Comme quoi, rien.

Chez Dany, par exemple, ça ressemblait à ça.


Entre les nombreux instruments dans un coin de pièce et ce superbe tableau au mur, comment oublier que Dany n'a pas seulement un cœur d'agriculteur à offrir mais aussi un cœur de musicien, un cœur d'accordéoniste. Et ça, ça n'a pas de prix.


Après le petit-déjeuner, il est question pour nos trois amis d'aller visiter la ferme. Le balai pour l'une, la fourche pour l'autre.
Puis une vive douleur pour Sylvie qui a bêtement perdu un doigt tandis qu'elle se le faisait sucer par une biquette.



Et aussi une poule.



Oh pute borgne ! J'allais oublier les commissions.
C'est à dire qu'à un moment la voix off nous dit: " Dans le Doubs, l'heure des courses est enfin arrivée. L'occasion pour Dany d'entrer dans la phase séduction."
Bah oui.
Et c'est à dire qu'Héléna...

- Tu veux que je pousse le caddie Héléna ?

- Ah nan c'est un truc de femme ça, garde ton rôle de mec va.








Bon alors là ça m'a fait une sorte de fussoir.
(Héléna, t'es pas sérieuse. Héléna tu vois ton caddie ? Tu sais que je suis en train de fabriquer une machine dans mon garage pour que vous puissiez fusionner tous les deux ?)

Plus tard, au supermarché de l'amour, Dany est allé traîner du côté des vêtements. L'air de rien, il a demandé des conseils à ses deux prétendantes qui ont pris ça très à coeur et se sont improvisées relookeuses.

Voilà tou es magnifiiiique mon chériii ! ♥


Chez Pierre, l'ambiance est de mise. Que dire de ces trois-là si ce n'est qu'ils ont vraiment l'air d'apprécier le temps qu'ils passent ensemble.
Après le petit-dej, Pierre décide de montrer son gros engin aux filles. Lesquelles sont impressionnées.
Sur le mur, une tâche noire. Et c'est pas que j'ai du mal à meubler mais quand même on dirait qu'il a une banane de ouf non ?

Mais si.

Puis l'heure viticole est venue et ils ont goûté l'Armagnac. Encore. Et plus ça va, plus je me demande pourquoi je n'ai pas écrit à Pierre.


Pour marquer les esprits c'est sur un circuit que Pierre décide de passer l'après-midi avec les filles.


Et c'est de l'estomac de porc à l'ail qu'il décide de servir au dîner.





Chez Jeanne c'est un peu la même chose sauf que c'est le contraire. Le groove est merdique.
Ils prennent leur petit-déjeuner dans une ambiance des plus monacales, après avoir allumé le feu, bien sûr (vu qu'ils font que faire du feu, porter des pulls polaires et se frotter les mains.Vu qu'il fait  - 20°c chez Jeanne et qu'on ne peut pas, en général, compter sur une belle collection d'assiettes pour se réchauffer la couenne.).



Lucien et Jean-Marie ont l'air complètement love de Jeanne. L'un n'en finit pas de faire de la lèche, l'autre a l'air vraiment saoulé par cette sorte de ménage à trois. Jeanne, elle, elle s'en fout. Elle donne des ordres.

Les courses au supermarché, qui sont censées mettre en exergue les sensualités, se font au pas de charge sous la houlette d'une Jeanne très directive.
Lucien fait toujours le canard.
Et lorsque Jean-Marie a soudain l'idée fofolle d'acheter de la glace... ben on lui fait comprendre que c'est vraiment une idée fofolle qu'il a eue là. Voire quand même un peu, une idée à la con.



" Non, les glaces c'est pour les enfants. On a 60 ans !!"










Après cette petite escapade, Jeanne emmène ses prétendants au restaurant où le repas se déroule encore dans une ambiance de folaï. Surtout quand Lulu le canard se met à parler de l'Alsace et de la route des vins.
Je pense que la production aurait tout intérêt à faire disparaître ces trois personnages du paysage audiovisuel. Ils sont vraiment vraiment trop suppositoires et leurs pulls sont trop moches. Ils risquent de complètement fumer l'émission. J'aurais prévenu.



En plus ils mangent de la soupe et tout.



Allons plutôt chez Bertrand qui,  pour ce premier matin en compagnie de ses belles, a acheté fleurs et croissants.
Vient ensuite la visite de la ferme et la présentation des animaux.

Caroline: " T'en as pas une qui s'appelle Caroline ? Parce que c'est souvent que les vaches s'appellent Caroline."









Une vache avec une carapace ? Vous m'étonnez.

Lors de cette visite des champs, Justine attire une fois de plus toute l'attention de Bertrand, et Caroline apparaît vraiment triste et en retrait.
Comme là par exemple.


Justine s'exprime sur la situation

" Elle voudrait avoir Bertrand que pour elle et que je pars dès demain !"











Après avoir déjeuné avec son papa, ému aux larmes de voir son fils prendre en main sa vie amoureuse, Bertrand fait la surprise aux filles de les emmener passer l'après-midi au Spa.
Dans les vestiaires, il jette des coups d'oeil furtifs au boule de Justine.


Dans le jacuzzi, Caroline lui avoue son gros coup de cœur pour lui.
Pis après on le voit dans l'eau. Et bien que cette capture soit floue et sans intérêt eh bien je vous la montre quand même.


Puis c'est au tour de Justine et des ses fluides corporels, de le rejoindre pour partager un moment en tête à tête.
Bertrand lui avoue quelque chose...

" Tu veux que je te dise pourquoi je t'ai choisie ? Non mais ça m'a fait rire... Tu sais, si tu fais Justine, et mes amis m'appellent Beber, ça fait Justin Bieber, hahaha."








Enkuler de rire.

Malheureusement la déconnade aura été de courte durée pour Bertrand car à peine arrivé chez lui, alors qu'il tente une mousse au chocolat dans la cuisine avec Justine, Caroline s'isole et part pleurer au soleil couchant.
Il va la voir. Elle lui dit qu'elle est amoureuse, qu'elle ne supporte plus de le voir regarder Justine avec ses yeux-là et qu'elle va partir.


Elle ajoute qu'elle ne lui en veut pas et qu'en tout cas elle lui souhaite d'être heureux. La preuve par l'image.


Bertrand se montre désolé.

"Aujourd'hui elle pleure et j'ai l'impression d'être un gros connard quoi."











Et moi je trouve que sur cette capture d'écran, il fait trop bien le connard quoi.


Bon. Et si on allait voir Michel-Edouard ?
Alors chez Mich-Ed c'est le soir. Le soir de la veille. Et vu qu'il a prêté sa chambre, il transforme son clic-clac en lit avec l'aide des filles.
C'est ça la force du clic-clac. The power of the clic-clac.

Brigitte: " Quand on voit un lit, c'est vrai que ça donne envie de dormir."












Chez Michel-Edouard, on nous renseigne souvent sur l'heure. Plus que chez les autres, j'ai l'impression. Peut-être s'ils avaient eu une horloge-assiette...
Bref, là il était 21h27.

 Ça fait plaisir.

Le lendemain c'est tour de tracteur pour tout le monde. Michel-Edouard présente son frère qui le remplace dans son travail à la ferme durant sa convalescence (souvenez-vous que Mich-Ed est un peu pété de partout et se déplace à l'aide de béquilles depuis le début)
Il en profite pour faire le mariole.

- Y'a que ça que je vous ai pas offert, vous savez ce que c'est ?
- Des pissenlits !
- C'est le premier cadeau.
- Hahaha !
- Autrement je peux vous offrir des orties !
- Hahaha ! Oh bah, ce serait pas... hahaha !
- Ca serait pas pareil !
- Ca par contre, hahaha !




 L'exaltation se lit sur les visages. Surtout sur celui de Brigitte qui je vous le rappelle est une droguée.



Michel-Edouard montre également  ses deux cuves à vin et en profite pour revenir sur son accident.

Donc il est tombé de tout là-haut:


Et donc il s'est écrasé là:


A la maison, après un plan sur ses chaussons, il parle organisation. Et comme l'un de ses plans vient de tomber à l'eau rapport à ce qu'il fallait réserver, il décide d'emmener Brigitte et Josiane au musée de la BD.


En revanche il ne sait pas trop où c'est. Et Angoulême c'est un peu l'angoisse.


Finalement, pour trouver le musée, ils n'auront qu'un pont à traverser.

Michel-Ed: " Y'en a qui doivent en faire du k.way."

Brigitte: "qui doivent faire du canoë..."









Et c'est là, au musée, que nous constaterons avec effroi que la drogue a rongé les nerfs optiques de Brigitte :-(




Retour à la maison où Michel-Edouard n'est pas peu fier de montrer sa superbe chaudière à ses prétendantes. Sauf que bon, il a un problème de tirage. Ce qui est fort contrariant.


Laissant Mich-Ed à ses galères, les filles retournent au salon où elles se mettent à philosopher à bâtons rompus.

Josiane: "Où est l'amitié par rapport à l'amour ?"












Pendant ce temps, Grand Corps Malade en chie franchement.


Après cette petite tracasserie, nous retrouvons nos joyeux drilles à table. Et Michel-Ed se confie un peu en disant que c'est pas simple, qu'il est censé communiquer mais qu'il ne sait pas s'il le fait bien.
Brigitte est touchée. Ni une ni deux, elle se lève et lui attrape les mains, lui tapote la joue aussi, en disant "Rolalaaaaa mais faut paaaaas !"



C'est bien gentil. Sauf que Brigitte ne connaît aucunes limites et que son petit remontage de moral au-dessus de la table dure 4 heures.
Ce qui est longuet.

A la fin du repas, alors que Mich-Ed parle déjà d'aller se coucher, Brigitte, certainement en pleine montée, décide d'organiser une grosse bamboule à trois dans le salon.
" Tu vas nous mettre du hit !!!" qu'elle lui dit. " Mets du David Guetta !!!!"

Sitôt dit,  presque sitôt fait, après quelques soucis techniques, Mich-Ed fait péter les watts.

Et Brigitte danse.
Oh oui elle danse et elle oublie tout.
Sur le dancefloor, tandis que Mich-Ed se laisse aller à un timide balancement, Brigitte s'abandonne et offre à tous l'occasion d'admirer toute la fluidité de son body.





A suivre...

mercredi 18 juillet 2012

Emission 3

Lors de cette troisième émission, avant que les choses sérieuses ne commencent vraiment, nous suivrons avec ravissement les cinq derniers agriculteurs de cette grande aventure lors du retrait des marchandises. 

Filons voir Bruno (celui que l'on soupçonne sur l'Internet de n'être là que dans l'unique but d'offrir un peu d'amour à son zizi) (alors que les autres sont clairement rassasiés niveau sexe, ça se lit sur leur visage) qui, une fois ses deux prétendantes réceptionnées à l'aérogare, frappe un grand coup en abattant la fameuse carte supermarché. Et attention, on ne parle pas là de petites courses minables de célibataire en situation précaire mais d'un "lunch" pour au moins vingt personnes. De la course de la vraie.
 Et si Nancy se montre plutôt pisse-froid, il est plus que flagrant qu'Annie a soudain très chaud. Au comble de l'excitation elle se met à dresser une liste sur le parking de Casino.


Par la suite elle s'emparera frénétiquement des sacs à légumes, donnera des petits ordres en souriant et cavalera dans les rayons.
J'ai bien quelques captures pour illustrer mes propos mais j'ai un peu peur de vous perdre.
Allez, juste une pour que vous soyez sûrs de ne pas regretter les autres.


De la soirée on ne saura rien. Ou alors j'ai pas tout suivi.


Je voulais poursuivre avec une autre Annie.
Cette autre Annie c'est elle.
Très jolie capture.


Alors donc Annie est contente.
Elle va jusqu'au marché de Brou pour clamer à qui veut l'entendre qu'elle va avoir "deux amoureux" chez elle.
Elle le dit au commerçant à qui elle achète du boudin noir.


- C'est pas tous les jours que j'ai deux amoureux !

Et le petit pépé de s'exclamer:
- Rho dis donc !


Quelle belle ambiance que celle du marché de Brou.

De retour au haras, Annie nous fait découvrir les box aménagés en chambres à l'attention de ses invités.
C'est bien coquet. Ca fait plaisir.

Cela dit je me demande si ce plan interminable sur cette tapisserie, ce chauffe-eau et cette série de casseroles était bien nécessaire. Je vous laisse seuls juges.





Enfin, alors qu'Annie est en train de monter un poulain, arrive Guy.
Elle en profite pour faire son intéressante.
Guy fait semblant de s'intéresser.


- Vous m'excuserez Guy.

- Mais y'a pas de souci Annie.









Vient alors le moment fatidique du fameux test canin.
C'est très simple. Annie ouvre la porte derrière laquelle sont enfermés ses deux gros chiens.. S'ils n'éventrent pas Guy, c'est gagné.
Sinon il meurt.

Attention, les fauves sont sur le point d'être lâchés. Guy adopte une attitude décontracte. Mains sur les hanches, manches de veste en cuir retroussées.


Gagnéééé ! Les chiens s'ébrouent joyeusement, se mettent un peu sur la gueule sans lui prêter la moindre attention. Guy est vivant.



En attendant l'arrivée de Bernard, contemplons ensemble ce cheval qui en fait, si l'on se concentre un peu, ressemble à un dinosaure qui fout vraiment les jetons.
Nan ?



Mais si.


Bref, voilà déjà Bernard !


Et là on réalise que ...


Oui, Annie est attirée par les chauves à lunettes.


A peine arrivé, Bernard s'en prend plein la tête par un Guy plutôt puant qui, sous couvert d'humour, ne cesse de tenter de le ridiculiser aux yeux d'Annie.
Mais Beber reste digne et hermétique aux quolibets de son clone.
Il s'éloigne et prend des lapins en photo.


Puis des chevaux


Et encore des chevaux


C'est sa manière à lui de dire fuck off.

Annie rit beaucoup des vannes moisies de Guy. Mais je crois qu'Annie est un peu perchée.
Le reportage sur ces trois-là se termine alors que Guy est un peu à la traine, un seau à la main.


Annie: " Bah alors Bernaaaard, l'intellectuel là !"

Bernard: " Ta gueule vieille pute ! Oui mais c'est lourd, haha"









Chez Hugo, c'est un peu la déception vu que son coup de cœur s'est désisté et qu'il ne lui reste comme prétendante que Yamina et ses points de suture (elle a été opérée de l'appendicite trois jours avant son arrivée à la ferme). Mais il reste positif. Et puis honnêtement, avec une coupe de cheveux pareille, comment ne pas se sentir l'âme conquérante ?


C'est donc tout sourire qu'il récupère Yamina à l'aéroport.
Yamina, ready, qui a visiblement voyagé en bottes.


Bon, par contre le souci c'est que pour sortir de l'aéroport de Mérignac, la carte bleue est absolument nécessaire. Et je vous le donne en mille, Hugo n'a pas de carte bleue.
Alors il tourne, il vire, il se perd.


Mais toujours il reste confiant.


Finalement il trouvera une caisse automatique et effectuera son règlement dans la joie, sans oublier de se faire entuber de trois euros.
Mais Yamina dit que c'est pas grave de perdre trois euros pour venir la chercher ♥

Sur la route il lui annonce qu'elle va passer la semaine toute seule.

Lui- Ça sera plus simple !"
Elle- Ouais c'est plus simple. Après c'est clair. Bah c'était la concurrence hein ! D'ailleurs j'avais dit à Laura: "Bon courage quand tu pars à la ferme c'est chacun pour sa peau !" Je suis comme ça moi, je suis une fille qui est compétition, donc.

Lorsqu'ils arrivent à la ferme, ils sont accueillis par maman. C'est que Hugo aussi vit avec sa mère. Spourça.


Ça fait plaisir.
Tout comme cette coupe de cheveux que nous découvrons de 3/4.


Plus tard il a été question de nourrir les bêtes et Yamina s'est montrée très curieuse, très intéressée.
Nous voilà bien contents.
Et Hugo a dû l'aider à retirer ses bottes. Comme on a riiii.




Et chez Philippe sinon ?
Pas grand chose
Isabelle est arrivée et s'est foutue la gueule dans une poutre en visitant la terrasse.
Philippe lui a sorti: "je t'avais dit que tu étais grande !"
Maintenant elle sait.

.


Puis ils ont trinqué.


Et Pascaline est arrivée dans son Alpine.


Et ils ont retrinqués.


Pour finir j'ai capté une image strangy que je sais pas si c'est de la pub pour la semaine prochaine où s'ils ont vraiment fait ce truc étrange au petit matin.
Je sais pas.
Mais voilà.

(et Philippe c'est celui du milieu)




Terminons avec ce brave Patrice, en train de remplir son lave-vaisselle.


Pat est content et décontracté, et il le dit.
Même qu'on le retrouve en train de siffler à l'aéroport en attendant ses prétendantes.


Elles arrivent.
Voiture et vitre crade.



Grues et arc-en-ciel.


Bon il y a eu des allers retours toussa parce qu'elles ne sont pas arrivées à la même heure mais finalement on se retrouve by night dans la voiture, et Patrice dans la conversation leur dit.

" Bon par contre je vais vous épargner ma tenue pourrie à la maison, ça sera déjà pas mal.
...
C'est à dire, c'est tablier et calebard quoi." 







Elles ne réagissent pas.

Ils arrivent.
- Oooh la petite maison dans la prairiiiiie hihihi
- Oui, Charles Ingalls c'est moi hahaha

Ils poussent la porte.
Et là.


Il y a un petit personnage.
C'est un ami de Patrice nous dit-on. Certainement qu'on nous donne son prénom mais je ne l'ai noté nulle part dans mes dossiers. Donc nous l’appellerons Nez-Nez.
Bon très bien. Mais bordel qu'est-ce que tu fous là Nez-Nez ? Eh bien,comme son nom l'indique, Nez-Nez est parfumeur et il est là pour "concocter aux filles une fragrance sur mesure".
Une petite animation comme dans Un dîner presque parfait, ça fait plaisir ou ça fait pas plaisir ?
Bah ça fait plaisir.

Il commence donc avec prétendante numéro 1 (dont je n'ai pas non plus noté le prénom mais qui a une très jolie combinaison fleurie)


Puis il enchaine avec prétendante numéro 2 (non plus...) et se met à faire des trucs trop chelous au-dessus de sa tête.


Il lui demande comment elle se sent. Elle lâche tout. Elle raconte qu'elle ne se sent pas bien. Que Patrice ne la regarde pas.
Nez-Nez lui prête son oreille.

Pendant ce temps, Patrice et combi fleurie fument sur la terrasse.



A suivre...