dimanche 2 septembre 2012

Emission 9


Chers amis, visiteurs et autres pourritures communistes,

Tout va de mal en pis. Ma connexion se dégrade de jour en jour (un peu comme vos mères) et obtenir quelques captures d'écran s'avère être un véritable parcours du combattant. Puis je manque de temps, rapport au fait que j'ai toujours dit non à l'avortement.
De plus, on ne va pas se mentir, cette émission commence à se faire longue. Longue et molle.
Maaais je m'accroche. Finalement, résumer l'Amour est dans le pré, en ce moment, c'est un peu le combat de ma vie.

Sur ce, filons chez Solange. Comme ça on sera bien débarrassé.
D'abord le chien. Le chien qui est corse et qui t'emmerde.



Ensuite, Cyril. Qui demande à Solange si elle serait "prête à faire des efforts sur son physique, perdre un peu de poids, des trucs comme ça..."

"Parce que moi j'aime bien être avec quelqu'un qui soit du même poids, soit plus léger que moi."

"Un petit peu d'activité, c'est bon."








Puis le famous câlin collectif. Parce que Solange a finalement dit adios muchachos à ses deux prétendants.


 Et enfin le chien corse. Qui t'emmerde toujours mais dans l'autre sens.


Et voilà. Salut Solange. Bonne bourre.



Chez Philippe.
Une vanne.

Pascaline: " Tu montes pas derrière Isabelle ? Avec le matériel. Nan ?"











Puis le bain de peaux mortes.


Et enfin un tour dans la Renault Alpine de Pascaline qui aurait tendance à se prendre pour schumi.
Comme quoi les mentons.


Bon. Mais sinon ce pauvre Philippe est toujours pétri de doutes.



Chez Bruno.
Nancy est partie. Parce qu'elle avait des problèmes de santé toussa.
Alors Bruno est resté avec Annie. Puis il a fini par s'en accommoder. Mais moi, la vérité je la sens pas cette histoire.
Voyez-vous, je suis très sensible aux signes. Et là, pour moi, ça pue un peu la mort du cul.

Ici, une hache au sol.
Une hache de feu, brother.



Et là, rien de moins qu'Alice Sapritch en arrière-plan. Revenue en guest depuis le royaume des morts.



J'aurais prévenu.


Chez Hugo.
Bon déjà il a pris un coup de boule par une vache. Ce qui dans les croyances agricoles annonce l'imminence d'une séparation, comme nous le savons tous.


Et donc Yamina est partie. Parce que soi-disant elle avait mal suite à son opération de la pendisite.
Du coup elle est partie sans même taper la bise à Hugo. En penchant dangereusement de côté. Sur la musique du somptueux dernier épisode de Six feet under. Ce qui fait que j'ai attendu, attendu qu'elle s'écroule complètement morte, qu'une vache folle vienne la dévorer ou qu'un tracteur la moquette sans crier gare mais nan. Rien. Pas de faucheuse à l'horizon.


Mais c'est pas grave parce que ce brave Hugo a quand même organisé une petite bouffe avec ses amis et a confié à la caméra que parmi ses amies, il y en avait une qui éventuellement...
C'était bien la peine de venir s'afficher tout l'été sur M6 avec une coupe de merde.






Chez Thierry.
On a cru que ça n'arriverait jamais mais finalement Bénédicte a compris. Et part.
A la gare, Thierry lui dit en lui tapotant la tête:


" Petit rayon de soleil.
Tout le bonheur, tout mon coeur !
Allez. "









C'est un moment plein d'émotion et de pulls à rayures.
Annie pleure.
Béné dit que "C'était magique"

 C'est souvent comme ça que ça se passe à la gare de Villedieu les Poêles.

Au retour, Annie confie à son beau Thierry:

Annie: J'ai l'impression de me sentir un peu plus chez moi !

Thierry: Mais je l'ai vu ! Tu prends déjà tes décisiatives de toute façon."








Mais après un bon petit-dej, il est temps de retourner au travail.


Thierry: Allez, on va frotter les mamelles, c'est là que j'aime bien mettre les mains moi."










Entre 2 tirages de gougouttes de vache, Thierry annonce qu'il a envie de "construire un enfant" (avec Annie) et de faire un mariage avec beaucoup de fleurs. Parce qu'il aime les fleurs.


Love.

Sa maman est elle aussi comblée de jouah. D'autant qu'Annie est travailleuse.


Pour fêter ce tout grand amour, Thierry invite une nouvelle fois sa belle au restaurant.
Sorbet aux huitres et superposition de pulls. Rien n'est trop beau.


Et la soirée enchantée de l'amour ne s'arrête pas là puisque Thierry, lancé comme un taureau fou aux bourses de feu, a prévu d'offrir à Annie une nuit inoubliable en réservant une chambre à l'hôtel du restaurant.


" Pour t'offrir un petit peu de plaisir et pis beaucoup d'amitié quoi."










La chambre est somptueuse.
La vérité, tout cet amour ça fait plaisir. Mais quand même y'a des trucs qu'on préfère ne pas voir. Comme cette dernière image offerte par le cameraman par exemple.
C'est gentil mais ça glace l'échine tout de même.


Qui c'est qui va se faire frotter les mamelles ?


Oh seigneur, vite, regardons courir des cochons corses, les oreilles dans les yeux, et oublions.


Voilà.

Le lendemain c'est tour en mer.


Thierry n'a jamais été si heureux. Il jubile comme aucun homme n'a jamais jubilé.
Puis il aime.

" C'est la mer qui prend l'homme ou c'est la mer qui prend la femme ?
Bah aujourd'hui ça va être l'homme qui prend la femme."









" Monte par là, bébé. On va faire un bisou lô ! "











Et ce qui est beau, ce qui est vraiment beau, c'est qu'Annie monte.
Toujours.




A suivre...

jeudi 23 août 2012

Emission 8




Bonjour.




Mes impayables amis,

J'ai le regret de vous annoncer que ma connexion est depuis quelques jours vraiment de merde et que ce huitième épisode l'était tout autant. J'irai donc cette fois au strict essentiel. Mais genre grave.

Chez Patrice l'apiculteur d'abeilles, c'est vraiment la grosse déception. Ce dernier a dit aux filles que oui mais non, et il a été question de lourder tout ça dans les transports en commun.
Mais non sans un câlin à trois sur le quai.


Et non sans un vibrant plan sur les rails au moment du démarrage du TGV.


La partouze aux 1000 dards n'aura pas lieu.
C'est nul.


Chez Rémi aussi c'est la grosse déception. Remember Rémi, c'est celui des jumeaux qui est affublé d'un mime et d'une blonde à langue anesthésiée que l'on appelle Escalator dans le milieu.
Le pauvre avait organisé une joyeuse promenade à vélo de 7 km.
- Vous avez des tennis ?
- Non.
Pas de TENNIS quoi !

Du coup il s'est posé des questions rapport à l'activité prévue le lendemain. Et après avoir appelé le monsieur, le couperet est tombé.
- J'ai appelé et l'accrobranche en talons c'est pas possible.

Arf pute borgne. Ca nous a achevé le Rémi qui a licencié le soir même ses deux prétendantes en leur demandant de rentrer chez elles.



Et puisque l'idée est d'aller au strict essentiel, la toile cirée transparente de Rémi:


Voilà.



Du côté de chez Jo, Céline l'hystéro tombe de manière tout à fait ridicule, dans l'eau en essayant de monter dans un kway, et ça fait plaisir.

( la main accrochée ♥ )


Sinon ses prétendantes ne lui plaisent pas et il leur dit. Ca tombe bien, Céline n'a pas "le truc qui fait que" et Léa se sent plus attirée par son frère. Après une petite discussion, il est convenu de refiler la Léa à Jo. Faut pas gâcher.




Chez Annie c'est le drame parce que Impala est blessée à la patte gauche. Impossible de concourir dans ces conditions mais hors de question d'annuler la journée au haras de Jardy. Certainement pas !
 Annie, sa tenue d'un autre temps, sa coupe d'un autre monde, ses explications, les bourrins ...
 Est-ce qu'il existe quelque chose de plus chiant sur terre qu'une journée au haras de Jardy avec Annie ? Je ne pense pas.
Pis alors le Bernard qui, en entendant Lady marmelade dans les hauts-parleurs, s'est mis à nous faire la danse du myopathe devant tout le monde !  0_°


 Mais POURQUOI ?
Enfin !
Bernaaard.
La vérité tu faisais peine. Ca faisait mal de te voir te desarticuler comme ça sans raison.
C'était pour séduire Annie c'est ça ? C'était une sorte de danse de l'amour ? 



Et pourquoi as-tu pris ce balai quand des mains moqueuses te l'ont tendu ?
T'es con ou quoi Bernard ?!




Chez Dany c'est une grosse fête en l'honneur de lui-même qui s'organise. C'est qu'il fête ses 34 ans alors ça déconne pas.
On attend une centaine de personnes.
Le mouton tourne sur sa broche, les prétendantes préparent les tables pour l'apéritif et " les petites mains s'affairent en cuisine ".

C'est marrant, moi quand j'entends la voix off dire " les petites mains s'affairent en cuisine " bah je vois un peu des petites fées qui virevoltent en faisant scintiller leurs ailes. De la jeunesse, du rire cristallin en cascade. Ouais. Je sais plus pourquoi je vous disais ça en fait.

Donc "les petites mains s'affairent en cuisine"





Au programme, beaucoup de simplicité:
Baptême de montgolfière, tour de moto trike, show équestre, concert de Dany à l'accordéon et enfin, pour clôturer cette belle soirée, un feu d'artifice.

Dany Barclay quoi.

Lors de cette soirée magique Sylvie explique à Dany qu'elle n'est pas contre l'idée qu'il se concentre surtout sur Héléna parce que en ce qui la concerne, nan quoi.

Du coup, après le superbe gâteau ...


Et après le somptueux feu d'articul ...


Dany attaque.


Love is in the meadow ♥




A suiiiivre ...




jeudi 16 août 2012

Emission 7

Oh lalalala mes biquets ! Foutre diantre, quel festival que ce septième épisode !
Viiiite, posez-vous que je vous raconte.

Chez Jeanne.
Lucien répare une fourche cassée. Ce malade mental !
La réaction de Jeanne, piquée dans sa virilité, ne se fait pas attendre. Elle s'agace, serre les mâchoires, pince les lèvres et récupère sa fourche pour finir le boulot.
C'est en fumant des naseaux qu'elle plante le dernier clou. Faudrait voir à pas prendre Jeanne pour un petit pédé.


La vérité, Jeanne fait peur. Elle est autoritaire et rugueuse. Et quand elle donne ses instructions à ses deux soumis pour lui retourner la motte correctement bah je m'imagine des trucs monstrueux avec du latex, des cravaches et des fourches. Et ça me gêne considérablement.


Au soir de cette belle journée, Jeanne emmène dîner ses hommes au restaurant où ses amis les attendent.
Elle est fière notre Jeanne. Elle a l'oeil qui pétille.


Ah et voici Ginette !


Qui est Ginette ?  On ne sait pas.

L'ambiance est de feu. On fait de la rigolade à table et la joie se lit sur les visages.
Mais il faut dire qu'une bonne petite soupe entre amis, ça n'a pas de prix.


En fin de repas, Jeanne pousse la chansonnette.
Elle y met tout son coeur, elle y met toutes ses couilles et c'est très joli.


Après cet ouragan émotionnel, Lucien est tout chamboulé et va faire quelques pas au grand air.
Il a le blues. C'est pour ça.



Le lendemain, Jeanne décide de faire découvrir sa maison de berger à Lulu et Jean-Mimi.
Ils prennent la voiture.
Lulu flippe sa mère. Il trouve que quand même Jeanne ne conduit pas super super droit.
Il lui fait remarquer qu'il n'y a pas de rail de sécurité. Elle s'en bat le foie.


Jean-Mi, qui lui n'a pas peur de la mort, dit qu'il y a de belles balades à faire dans le coin. Mais en randonnée.

Le reste du trajet se fait à pied. L'occasion pour moi de vous montrer cette belle capture d'image pas du tout flippante.


Jean-Mi aime beaucoup le bâton que lui a prêté Jeanne. Il se dit peut-être que ça ferait un joli souvenir, alors il tente subtilement de se le faire offrir.

JM: "Bah je crois que je vais garder ton bâton !"

Jeanne: "Ah non ! Le bâton il a pas de valeur mais tu me le laisses parce que j'en ai besoin espèce de petit enculé de ta mère !"





C'est vrai qu'il est réjouissant ce bâton.


Quant à Lucien, il a une tête de bite et un kway.



Pour dîner, étonnamment ils ne mangent pas de soupe mais un truc.


De retour chez Jeanne, Jean-Michel file dans sa chambre.De manière plutôt bizarre mais bon. Chacun monte les escaliers comme il l'entend après tout. On n'est pas là pour juger.


Jeanne, elle, lit le journal.


Quant à Lucien, il apprend au fils comment éplucher une orange avec une cuiller.


 Jeanne: "Il a plein d'astuces ce Lucien, on va le garder quelques jours !"












Autant dire que cette veillée est féerique.

Lucien (à propos des pelures d'orange): "C'est pas gênant dans la cheminée ?"
Jeanne: "Non au contraire ça sent très bon !"

Lulu s'y voit déjà. Il a des étoiles plein les yeux.
Satisfait, en place, il se fait un petit bain de bouche au café.


Ça fait toujours plaisir.



Chez Pierre.
C'est l'heure du tour de tracteur avec Frédérique et comme le dit la voix off  "Devant tant de puissance agricole, la magie opère."


J'ai lu sur Facebook, le commentaire de quelqu'un qui les comparait à Shirley et Dino. Et oui, oui maintenant que tu le dis, petit internaute ...


Mouhahaha.

Puis c'est au tour de la douce Inge ♥ de prendre place sur l'engin de Pierre. Mais là, la magie n'opère pas du tout. Elle sent que quelque chose ne passe pas.
Pierre lui annonce alors qu'il a fait son choix et que c'est pas avec elle qu'il souhaite chevaucher, pieds nus, les dauphins blancs de l'océan de l'amour.
 Et c'est triiiiste.


Du coup, bah elle s'en va. Dans sa voiture. Direction le Luxembourg.
Et c'est encore triiiiste.

Mais le soir, le temps n'est plus aux lamentations et nous retrouvons un Pierre chaud comme une baraque à frites en train d'expliquer à Frédérique qu'il bouillonne. Mais qu'il comprend sa distance. Mais qu'il bouillonne.


Elle dit qu'elle comprend bien mais que patienter c'est important.
Il dit que ça fait longtemps qu'il n'a pas bouillonné comme ça.
Elle dit qu'elle a sommeil, qu'elle va se coucher.
Il fait semblant de rentrer avec elle dans sa chambre.
Elle le recale.
Ils rient.


Mais le lendemain matin, coup de théâtre !
La Frédérique se lève, vient dire bonjour au Pierre et han !


Qu'est ce que ? Mais ?!

Bon alors heureusement, on a une explication. Et l'explication c'est qu'en fait vers 3h du matin, Pierre est venu gratter à la porte de Frédérique. Il n'arrivait pas à dormir avec ce brasier dans le slip, alors ils ont parlé. Puis ils se sont un peu fait des bisous MAIS ils n'ont pas fait de zizi. Parce que quand même, voilà quoi.


Le reste se déroule comme dans un rêve. Les chevaux sont lancés comme des salauds.

A l'aérodrome, où il l'emmène passer l'après-midi, ils s'embrassent dans l'avion.


Puis en sortant de l'avion.


Le soir, ils chantent et festoient avec les amis de Pierre.


Et ils s'embrassent de nouveau, debout sur la table.


C'est beau.
Pierre explique qu'il est amoureux, que "son coeur est à fond".


Oh oui Pierre est heureux. Heureux et bien bourré.






Chez Bertrand.
Justine s'est levée à 6h du matin pour accompagner Beber à la traite des vaches.

Justine: "Tu veux pas écarter un peu plus les jambes, ça serait bien !"

Bertrand: " Ah les filles elles sont pas facile de faire écarter les jambes."








A leur retour, Caroline est fin prête pour quitter les lieux. Elle dit au-revoir, elle souhaite plein de bonheur à Bertrand, passe la marche arrière et taille la route.
Justine observe attentivement la scène depuis la fenêtre de sa chambre comme dans un film d'horreur super horrible.

Hin hin hin.

La soirée se déroule dans un bar où un ami de Bertrand donne un concert.
Justine demande à Bertrand si venir à Paris ne lui fait pas peur. Un peu pété, il lui fait la réponse la plus chiante du monde.

"Nan ça me fait pas peur parce que... enfin après si euh je sens que tu enfin... si tu me fais monter à Paris c'est bien que t'en as envie.. après si je sens que... bah t'es motivée et tout, ça va pas me faire peur parce que...parce que...j'aurais euh...enfin ça sera que du bonheur donc ça passe."





Mais oui Bertrand, ça va passer, ça va passer, ça va passer...

Le lendemain, nos deux tourtereaux en carton-pâte s'en vont gaiement pour un cours de conduite de tracteur.
Justine annonce qu'elle s'épate elle-même. Elle conduit même d'une main. Youhou.


Bertrand: " Je te regarde avec brio."












Alors pour ceux qui se demanderaient qui est ce fameux Brio, j'ai mené ma petite enquête et en décortiquant minutieusement la vidéo, j'ai pu l'apercevoir, planqué, en train d'espionner derrière le tracteur.



Et déjà avant il était passé mine de rien les mains dans les poches...

C'te vieille commère quoi.

Puis le soir est venu. Comme souvent.
Et Bertrand a emmené Justine et ses racines dans un cabaret pour lui présenter une partie de sa famille.

Justine (à propos de la traite): " Ah mais tu m'as pas montré comment on faisait à la main !"

Bertrand: "Je te montrerai."

Krkrkr.






Et c'est avec grand plaisir que nous avons pu découvrir la soeur jumelle de Bertrand.

 (Et la femme de Brio derrière.)



Chez Thierry.
Oh lalalalalalalala.
Bon. Vous vous souvenez certainement de la soirée serviettes.
Comment oublier ?
Pour ceux qui aurait refoulé, voici de quoi vous remettre dans le bain.


Voilà.

Donc on retrouve Thierry le lendemain matin. Mal.
Et Annie le visage défait.


On apprend alors le sinistre évènement. Thierry a besogné Bénédicte dans la nuit.
Ça se pose là comme info.

Thierry: "Hier, je sais pas, j'ai eu un petit coup de crac et j'étais dans mon lit et pis Bénédicte elle avait sa musique et puis on a dormi ensemb'..."



Annie, à qui il avait slamé des rimes de lover, ne comprend plus. Même le paysage est plein de désolation.


" On n'est pas des bêtes. T'es pas le taureau avec tes vaches."












Elle pleure, vexée et surtout vexée.


" C'est vraiment vexant."














Thierry regrette mais ne sait pas vraiment de quelle manière se faire pardonner. Il décide de lui organiser une petite surprise.


Thierry: " Piti tour de camion, comment tu trouves ?"

Annie: "C'est sympa."

Thierry: "C'est sympa ? Bah c'était une surprise."

Annie: "C'est gentil."






Finalement, avec l'aide de son camion magique, tout rentre doucement dans l'ordre et Annie ne peut résister longtemps à la forte attirance qu'elle éprouve pour Thierry.



Thierry: " Pis Bénédicte c'est pas la fille qu'il me faut parce que tu vois le matin je suis tout seul, je sais pas où qu'elle est. A ton avis où qu'c'est qu'elle est ?
Elle est dans le lit. C'est pas du boulot ça !







Et c'est au loin, là-bas, qu'ils échangent leur premier baiser ♥



Thierry décide aussitôt de prévenir Bénédicte. Son choix est fait et il lui tarde de le lui faire savoir au plus vite.
Puis comme le dit si justement Annie: " Après cette nuit, faut pas la laisser rêver non plus."
(Oui, oui on parle de rêve.)

Du coup Thierry décide d'emmener Bénédicte faire une promenade sur la calèche de la désillusion.


Thierry: "Je crois qu'on a fait une grosse connerie cette nuit, hein ? Qu'est ce que tu penses toi ?"

Béné: "Non. Non je ne pense pas."






(alors c'est pas la fille de Brio par contre sur la photo. C'est la cochère.)


Donc Thierry explique qu'il regrette, qu'il a choisi et qu'il va prendre Annie dès ce soir.
Béné lui dit calmement qu'elle ne lui en veut pas même si quand même ça lui fait un peu mal.
Mais est-ce que ça fait plus mal qu'un tour de calèche un lendemain de grosse murge ? La question reste en suspens.

Le lendemain, on retrouve un Thierry enchanté,  totalement décontracté du gland, qui fait le récit de sa nuit à la caméra tandis que deux chiens tentent d'illustrer chastement ses propos.

 " Moi et Annie on a passé une très belle nuit. Ouais. Par contre hier soir j'voulais pas dormir tout seul. Je voulais pas parce que j'étais plus confiant si Annie elle pouvait venir dormir. Annie elle a dit on va faire doucement: on a été doucement. Pas de problème. Dans la nuit après ça s'est bien arrangé.On a fait une très belle nuit. Et le matin on a fait une bonne douche parce que c'est pas tout de dépenser des calories ha ha HAAAAAAAA. C'était très beau."





 (je sais que c'est pas forcément facile mais il faut bien se détacher de tout ça, prendre un maximum de recul et surtout ne pas visualiser. Et tout ira bien.)


C'est une bien belle histoire d'amour qui commence et la vérité on est contents.


You're beautifuuuul, you're beautifuuuuul, you're beautiful it's true ♪


Oui alors vous vous demandez qui passe ENCORE en arrière-plan, est-ce ENCORE un membre du clan Brio ? Et bien non. C'est Bénédicte qui étrangement n'a pas décidé de rentrer chez elle mais de participer elle aussi à la fête de l'amour et des slobs bleus.


Bon.


Afin de fêter sa nouvelle vie, Thierry emmène Annie passer la soirée au restaurant. Et Bénédicte. Donc.

 Annie: "Je suis comblé de bonheur, comblée d'amour !"

Thierry: " Et j'en ai beaucoup à offrir..."

Béné: "..."







Puis il "porte un toss". Et souhaite plein d'amour et de bonheur et toussa...




















Puis...



Thierry: " Je vais te poser une question Annie. Est-ce que tu m'aimes d'un tout grand amour moi, Thierry ?"

Annie: " Alors toi, Thierry, je t'aime d'un très grand amour !)
                                                                                                                 
La vérité c'est beau à voir.





Chez Michel-Ed.
C'est le matin, et un matin pas comme les autres parce que Josiane fête ses 50 ans.
Le souci c'est que Michel-Ed a totalement oublié l'évènement. Et là, c'est le drame.
Josiane ne se remet pas de ce manque d'attention et va pigner dehors. Brigitte la console.


Cependant l'après-midi se déroule normalement et rien ne laisse présager du pire...

Les filles vont apprendre à tailler la vigne et Michel-Edouard fait un effort considérable en discutant en tête à tête avec chacune d'elle.
A Josiane il ne dira à peu près rien. Mais à Brigitte, il avouera maladroitement son attirance. Ce qui la fera sourire les cheveux au vent.


L'après-midi, il leur présentera même ses parents.
Non vraiment, à part ce léger incident du matin, rien ne laissait présager du pire...

La descente aux enfers débute au restaurant où Michel-Ed invite les filles à dîner.
Après avoir reçu un gros bouquet de fleurs de la part de l'agriculteur autiste, Josiane et Brigitte se mettent à picoler sérieusement.


Josiane est blindée.
Elle dit que ouh lalaaa, bientôt elle risque de ne plus répondre de rien.


Josiane: "Je peux chanter, courir toute nue sous la pluie !"










Brigitte lui demande si courir nue sous la pluie est pour elle un fantasme. Puis la conversation dérape et elles se mettent à demander à ce pauvre Michel-Edouard de parler de ses fantasmes.
Face à cette question, le pauvre homme se trouve terriblement gêné. Il a honte. Il dit qu'il n'a pas de "fantass".Il ne veut pas parler de ça. Il est mal.

Brigitte: "Rhooo mais vas-yyy, on a envie de te connaître nous, te connaître à l'intérieur de toi."









C'en est trop, Michel-Ed est prostré.


Josiane et Brigitte sont psychologues. Alors elles insistent. Lourdement.
Et pourquoi tu te fermes et gnagna...

Josy fait sa drama queen.


Josy: "C'est moi ? C'est mon anniversaire ?"











Puis elle se met à chialer.


Glauquitude.

Elles quittent alors la table et Michel-Edouard se retrouve seul. Dans un état pitoyable.


C'est un peu la quatrième dimension quand ces deux folles décident d'abandonner l'aventure et de dormir à l'hôtel.


C'est vraiment déchirant quand Michel-Edouard se met à morver dans son mouchoir à bord de sa Michmobile.


Et c'est tellement sinistre de voir ce pauvre homme seul dans sa cuisine. Cet homme qui ne peut pas envoyer valser du jour au lendemain des années et des années de solitude et de renfermement sur soi.








A suivre...