mercredi 8 août 2012

Emission 6



Bienvenue mes chatons.
L'amour qui sort du coeur et les vaches qui bondissent hors de l'eau à dos de poneys, c'est bien par ici.

Et c'est d'abord chez Hugo que nous allons. Et chez sa maman.
Il y est question de mettre la table mais Yamina ne sait pas trop où trouver les choses et si elle peut aller fouiller dans les placards sans se prendre une manchette par belle-maman.
Souvenons-nous de cette dernière.

 Voilà.

Hugo prend cette craintitude pour de la gênitude et lui dit qu'elle fait sa timide. Ce à quoi Yamina répond:

" Mais arrête de me pistonner comme ça !"
Belle-maman: "De ?"
Yamina: "Il me pistonne, il me traque."
Belle-maman: "Ah."








A table on apprend que Hugo ne s'occupe de rien à la maison. Et que Yamina ne mange pas de lait pour garder la ligne. D'ailleurs elle le trouve trop gras et le lui fait bien savoir. Puis elle le prévient:
"Mais si on habite ensemble, tu feras des conceptions aussi."

(attention, je vous rappelle que notre ami Hugo a la coupe de Godefroy de Montmirail mais en plus court. Il serait peut-être bon de visualiser tout ça dans votre tête avant de regarder l'image qui va suivre pour éviter l'effet giclette de vitriol dans l'oeil. De rien.)


...




...




Ready ?






Allez.


















Bon, nan mais on s'habitue. Pis en plus après il mettra sa casquette flammes♥

Bref. Après ce repas belle-maman nous donne son avis sur la jeune femme. Avis que tous attendions.



"Elle est un peu space. Parce qu'elle doit pas rester les deux pieds dans les mêmes sabots, comme on dit."








Nan. C'est pas ça qu'on dit.


Le lendemain, Hugo emmène Yamina voir les vaches. Ou l'inverse.
Elle fait son show, se ridiculise et critique une bouse. J'aime pas qu'on critique les bouses. C'est bas.

  "Ah ça c'est dégueulasse, c'est de la merde !"











Puis Hugo décide de l'emmener faire une promenade à la citadelle.
(casquette à flammes)


Yamina lui reproche de ne pas assez parler. Il décide de faire un effort. De lui demander, par exemple, de lui parler de sa vie sentimentale.
Elle dit qu'elle déteste les hommes comme lui, trop sur la réserve. Il dit qu'il faut composer.  Elle dit que de toute manière tous les hommes sont des salauds.

Au final on les retrouve assis avec les chiens. Devant la maison. On voit la belle-mère en arrière-plan qui fait semblant de chercher des trucs dans son frigo pour les pistonner.

"Je me suis énervée parce que tu m'as posé des questions que je peux pas répondre.
              ...
Je suis là pour qu'on apprend à se connaître et tout, y'a pas de problème."







Finalement Hugo dit qu'ils vont composer. Puis il se met à parler au chien.

On retrouve Yamina dans la salle de bain en train de se préparer pour aller au restaurant.
Elle se met du mascara tout en gardant un oeil sur la caméra qui la filme. (Ouiii c'est petit mais fallait pas critiquer les bouses)


Ici, la maman de Godefroy qui la pistonne dans l'embrasure de la porte.
Weird.


Il est temps de se rendre au restau et Yamina est en joie. Oh oui.

Yamina: "On va bien manger, on va bien boire du rosé, ça c'est bien !"
Belle-maman: "Tu aimes le rosé ?"
Yamina: "J'adore, j'en boirais des kilos et des kilos !"

La soirée se déroulera on ne peut mieux. Hugo parlera de son enfance d'asthmatique, de ces quatre ans qu'il a dû passer en centre de soins, loin de ses parents. Et Yamina boira du rosé, bercée par le son de sa voix.



Chez Philippe.
On est sur le point de passer à table et Pascaline se glande la moule tandis que Philippe et Isabelle s'activent aux fourneaux.


  Lors du repas, elle confie qu'elle n'aime pas manger, qu'elle a un petit appétit et qu'elle s'ennuie à table.
Bon.


Le lendemain, Philippe lui explique comment se servir du lave-vaisselle.

 
Il dit de lancer le programme "universel". Elle pense qu'il faut mettre "économique". Elle s'agace un peu. Il cède. C'est passionnant. (Et je note que c'est la troisième fois qu'on aborde le sujet du lave-vaisselle dans cette émission, ce qui n'est pas pour me déplaire). 

Plus tard nous les retrouvons dans la rue, se donnant la main. Souvenez-vous de cette image qui m'avait intriguée il y a quelques temps ! Bah voilà, aujourd'hui on sait. Ils allaient étiqueter des bouteilles de vin. Comme quoi, il y a toujours une explication rationnelle à tout.


La production essaie de nous faire croire que lors de cet étiquetage, Philippe tente habilement un rapprochement avec Pascaline. Alors qu'il est évident que cette position pour montrer quelque chose sur l'étiquette est tout à fait naturelle. Même s'il est certainement sur la pointe des pieds.



Alors maintenant je vous préviens, ça va faire un peu peur.
Nos trois joyeux drilles sont invités à déjeuner chez la maman de Philippe, Marie-Josephe (oui, c'est ainsi).
Et qui était là également ?  Qui c'est qu'on n'aurait jamais dû inviter ?  Le fils de Philippe ! Son blond de fils.

Oui car lorsque Pascaline lui dit que bientôt ça sera à son tour de s'inscrire à l'émission pour trouver l'âme soeur, il a un sourire en coin et il dit NON.
 Il ajoute qu'il est bien mieux du côté téléspectateur et que pour être honnête, il trouve tout ça un peu caricatural.


Haaan ! L'enfant de salaud ! Ce sacrilège !

Une musique de la peur commence à se faire entendre dans nos télés et c'est vachement bien foutu parce qu'on croirait que c'est dans la cuisine. Silence gêné de tous les protagonistes. Regard qui tue. Chemises de l'angoisse. Le temps se fige.






Heureusement, on peut toujours compter sur Marie-Josephe pour désamorcer les situations délicates.




"Je vais changer les assiettes."










Après ce léger incident, Philippe a emmené ses douces visiter une fromagerie que ça puait tellement là-bas dedans que ça piquait les yeux, et une cascade qui devait sentir l'eau je suppose.

De retour à la maison, Philippe met cette grosse gnasse de Pascaline au boulot.
De corvée de repas, elle prépare du brocoli.
Soudain Isabelle fait son entrée dans la cuisine et Philippe a un léger mouvement de recul.
En effet ça peut surprendre.


Bon mais en vrai moi je l'aime bien Isabelle alors c'est pas grave si elle ressemble à un handballeur tchèque (sur le banc).






Chez Bruno.
Oh lalalala mais chez Bruno il ne se passe rien.
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu que pourrais-je vous dire...
Bon, si, y'a Annie qui lui a offert 2 tshirts et 1 caleçon. Elle a dit qu'elle lui offrirait un cadeau par jour.

 

Sinon il a décidé d'emmener ses prétendantes prendre un petit-dej en ville. A pingot. A 3 kilomètres. A jeun. C'est un coup à se faire bouffer le foie ça.





Ils ont un peu parlé aussi.
Nancy a dit que d'habitude elle était très expressive mais que là elle avait du mal.
Bruno aussi a levé le voile sur sa personnalité. Lui aussi dit être expressif.


Bruno: "Malgré que je souris beaucoup mais ça cache beaucoup de choses derrière."









Quant à Annie, elle a dit:

"Tu me plais, je me sens dans la séduction, je cherche à te séduire,hihihi"










Et quand Bruno lui a demandé si elle serait prête à venir vivre là, elle a répondu: "J'ai besoin d'amour."

Cette grosse dalle.

Ah mais oui, j'allais oublier. En fait, si, ils ont fait un truc quand même ! Un atelier chocolat.
Annie a fait la blague du choco sur la joue et c'était cocasse.


Hihihi.
Puis après elle en a mis sur Nancy.


Krkrkrkr.

Et Bruno a tenté de se venger.

Mouarf.

Et puis même qu'Annie a encore fait rire tout le monde à gorge déployée quand elle a tenté d'assembler les deux mêmes côtés d'une vache en chocolat.

Cette pine.

Bon puis après ils se sont préparés pour aller à une soirée salsa et Annie a offert à Bruno son cadeau du jour. Une chemise.


Il était content. Mais surpris. Elle a dit qu'elle en avait encore. Ils ont ri.
Pis voilà quoi.


Chez Annie.
L'ambiance est toujours à la grosse vanne entre "les deux amoureux" mais j'aimerais avant toute chose que nous profitions de ce moment où Annie fait du feu pour observer de plus près cette improbable coupe de cheveux.


...

Donc je disais que l'ambiance était à la grosse vanne entre "les deux amoureux". Et à la provocation.
Aussi, pendant que Bernard fait la vaisselle avec application, Guy critique sa façon de faire, les mains dans les poches.




















Mais Guy n'en a cure.

Puis ils mangent. Et comme à chaque fois qu'ils passent à table, ils nous vendent du rêve.

Je ne l'explique pas, c'est comme ça.


Le lendemain nous les retrouvons en train de décharger du foin.Guy qui s'active comme un damné se fait soudain poète.

"Je sais pas si c'est normal mais j'ai la raie du derrière qui me sert de gouttière!"










Aucune réaction. Ça n'émeut personne.

Après un petit tour de bourrin, Annie emmène Guy et Bernard au restaurant. Là, nous apprenons que Guy est totalement contre l'idée de laisser les autres piocher dans son "achiette".


"Espérez pas piocher dans mon achiette, c'est hors de question !"










En fin de repas, grand seigneur, il insiste pour payer l'addition. Mais lorsqu'il demande à la serveuse "une facture pour la sécurité sociale", il déclenche l'hilarité générale. Enfin l'hilarité de Bernard et Annie.



Il est bon de rire parfois.


Sans désemparer, filons chez Dany.
Enfin, au restaurant.
Ne nous mentons pas, l'ambiance est moisie. Disons que Sylvie fait la gueule.
Parce que Sylvie, voyez-vous, n'est pas venue là pour faire un parcours gastronomique. Non, non,non. C'est à un agriculteur qu'elle a écrit et elle veut voir des vaches.
Lorsqu'elle balance ça à la face de notre joyeux accordéoniste, il a tendance à se décomposer et Ô mon Dieu, contrarié, il se met à faire des trucs vraiment chelou et dégueu avec sa langue.Et ce pendant de longues secondes.
WTF ? Il fait la vache ou bien ? Il tente l'hypnose ? C'est quoi l'idée ?Mais ARRÊTEZ ÇA TOUT DE SUITE MONSIEUR L’ACCORDÉONISTE !

Brrrr.

Puis Sylvie, qui n'a pas compris que là il était urgent de la fermer, lui demande: "Et sinon t'es fidèle ?"

Sylvie: "Nan parce que la fidélité c'est important."











Dany a arrêté ses conneries avec sa langue mais on sent qu'il est passablement énervé. D'ailleurs il lui dit que bien sûr il saute à couilles rabattues sur tout ce qui bouge sa question est blessante en serrant les dents.
En vrai j'ai pas tout compris mais je refuse catégoriquement l'idée d'être manipulée par la production.
(Car j'encule les productions.)

On les retrouve à table mais je ne sais ni où, ni à quelle heure. Enfin si, je crois que c'est au petit-déjeuner.
Mais c'est pas sûr. Bref. Dany demande aux filles si elles savent cuisiner.


Dany: "Tu sais, y'a des filles aujourd'hui elles savent même pas faire un rôti ! Elles achètent tout fait, micro-ondes et ..."
Sylvie: "Moi je fais mes confitures !"






Bravo Sylvie. Quant aux autres, elles brûleront bien assez tôt en enfer.

Après cet agréable petit-dej, et avant de rentrer à la ferme de Dany, nos trois bons amis décident d'aller voir le petit poulain.
Oui car il y a un petit poulain dans le pré d'à côté.
Dany propose aux filles de lui trouver un nom.
Elles le baptisent "sincère"

Parce que Dany est sincère.
...
Que dire ?


Allez, oublions tout ça, vite oublions, et hop dans la voiture direction la ferme de Dany.
Sans oublier d'enquiller une jardinière au passage.


Foutre diantre ! Dany a rayé la bagnole :(
Alors les femmes ne savent pas cuire les rôtis, les hommes ne savent plus conduire ...
J'ai envie de demander où va le monde.
Où va le monde ?


Bien, bien, bien, c'est l'heure du tête à tête.
D'abord c'est au tour de Sylvie à qui il avoue une certaine attirance.

Dany: "Tu m'intrigues parce que tu es mystérieuse tout ça."











Puis c'est au tour de Helena.


Dany: "Je peux faire quelque chose ? Je peux te prendre dans mes bras ?"
 Helena: "Oui."



Dany: "J'en avais envie depuis le début. Tout simplement."









Puis il parle de coup de foudre toussa.

Fourbes sont les accordéonistes.


Après ces moments forts en émotions et pour rester dans l'ambiance,Dany convie les filles à embrocher un agneau♥
La manoeuvre est délicate et Dany ne trouve pas le trou :-/


Finalement, en passant par la tête, tout glisse comme dans du beurre et l'opération est un véritable succès \o/


Et pour ne pas rester sur cette image de trouloulou d'agneau embroché, je vous laisse avec un canard qui fait coin-coin.
Au revoir.




A suivre...

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