mercredi 18 juillet 2012

Emission 3

Lors de cette troisième émission, avant que les choses sérieuses ne commencent vraiment, nous suivrons avec ravissement les cinq derniers agriculteurs de cette grande aventure lors du retrait des marchandises. 

Filons voir Bruno (celui que l'on soupçonne sur l'Internet de n'être là que dans l'unique but d'offrir un peu d'amour à son zizi) (alors que les autres sont clairement rassasiés niveau sexe, ça se lit sur leur visage) qui, une fois ses deux prétendantes réceptionnées à l'aérogare, frappe un grand coup en abattant la fameuse carte supermarché. Et attention, on ne parle pas là de petites courses minables de célibataire en situation précaire mais d'un "lunch" pour au moins vingt personnes. De la course de la vraie.
 Et si Nancy se montre plutôt pisse-froid, il est plus que flagrant qu'Annie a soudain très chaud. Au comble de l'excitation elle se met à dresser une liste sur le parking de Casino.


Par la suite elle s'emparera frénétiquement des sacs à légumes, donnera des petits ordres en souriant et cavalera dans les rayons.
J'ai bien quelques captures pour illustrer mes propos mais j'ai un peu peur de vous perdre.
Allez, juste une pour que vous soyez sûrs de ne pas regretter les autres.


De la soirée on ne saura rien. Ou alors j'ai pas tout suivi.


Je voulais poursuivre avec une autre Annie.
Cette autre Annie c'est elle.
Très jolie capture.


Alors donc Annie est contente.
Elle va jusqu'au marché de Brou pour clamer à qui veut l'entendre qu'elle va avoir "deux amoureux" chez elle.
Elle le dit au commerçant à qui elle achète du boudin noir.


- C'est pas tous les jours que j'ai deux amoureux !

Et le petit pépé de s'exclamer:
- Rho dis donc !


Quelle belle ambiance que celle du marché de Brou.

De retour au haras, Annie nous fait découvrir les box aménagés en chambres à l'attention de ses invités.
C'est bien coquet. Ca fait plaisir.

Cela dit je me demande si ce plan interminable sur cette tapisserie, ce chauffe-eau et cette série de casseroles était bien nécessaire. Je vous laisse seuls juges.





Enfin, alors qu'Annie est en train de monter un poulain, arrive Guy.
Elle en profite pour faire son intéressante.
Guy fait semblant de s'intéresser.


- Vous m'excuserez Guy.

- Mais y'a pas de souci Annie.









Vient alors le moment fatidique du fameux test canin.
C'est très simple. Annie ouvre la porte derrière laquelle sont enfermés ses deux gros chiens.. S'ils n'éventrent pas Guy, c'est gagné.
Sinon il meurt.

Attention, les fauves sont sur le point d'être lâchés. Guy adopte une attitude décontracte. Mains sur les hanches, manches de veste en cuir retroussées.


Gagnéééé ! Les chiens s'ébrouent joyeusement, se mettent un peu sur la gueule sans lui prêter la moindre attention. Guy est vivant.



En attendant l'arrivée de Bernard, contemplons ensemble ce cheval qui en fait, si l'on se concentre un peu, ressemble à un dinosaure qui fout vraiment les jetons.
Nan ?



Mais si.


Bref, voilà déjà Bernard !


Et là on réalise que ...


Oui, Annie est attirée par les chauves à lunettes.


A peine arrivé, Bernard s'en prend plein la tête par un Guy plutôt puant qui, sous couvert d'humour, ne cesse de tenter de le ridiculiser aux yeux d'Annie.
Mais Beber reste digne et hermétique aux quolibets de son clone.
Il s'éloigne et prend des lapins en photo.


Puis des chevaux


Et encore des chevaux


C'est sa manière à lui de dire fuck off.

Annie rit beaucoup des vannes moisies de Guy. Mais je crois qu'Annie est un peu perchée.
Le reportage sur ces trois-là se termine alors que Guy est un peu à la traine, un seau à la main.


Annie: " Bah alors Bernaaaard, l'intellectuel là !"

Bernard: " Ta gueule vieille pute ! Oui mais c'est lourd, haha"









Chez Hugo, c'est un peu la déception vu que son coup de cœur s'est désisté et qu'il ne lui reste comme prétendante que Yamina et ses points de suture (elle a été opérée de l'appendicite trois jours avant son arrivée à la ferme). Mais il reste positif. Et puis honnêtement, avec une coupe de cheveux pareille, comment ne pas se sentir l'âme conquérante ?


C'est donc tout sourire qu'il récupère Yamina à l'aéroport.
Yamina, ready, qui a visiblement voyagé en bottes.


Bon, par contre le souci c'est que pour sortir de l'aéroport de Mérignac, la carte bleue est absolument nécessaire. Et je vous le donne en mille, Hugo n'a pas de carte bleue.
Alors il tourne, il vire, il se perd.


Mais toujours il reste confiant.


Finalement il trouvera une caisse automatique et effectuera son règlement dans la joie, sans oublier de se faire entuber de trois euros.
Mais Yamina dit que c'est pas grave de perdre trois euros pour venir la chercher ♥

Sur la route il lui annonce qu'elle va passer la semaine toute seule.

Lui- Ça sera plus simple !"
Elle- Ouais c'est plus simple. Après c'est clair. Bah c'était la concurrence hein ! D'ailleurs j'avais dit à Laura: "Bon courage quand tu pars à la ferme c'est chacun pour sa peau !" Je suis comme ça moi, je suis une fille qui est compétition, donc.

Lorsqu'ils arrivent à la ferme, ils sont accueillis par maman. C'est que Hugo aussi vit avec sa mère. Spourça.


Ça fait plaisir.
Tout comme cette coupe de cheveux que nous découvrons de 3/4.


Plus tard il a été question de nourrir les bêtes et Yamina s'est montrée très curieuse, très intéressée.
Nous voilà bien contents.
Et Hugo a dû l'aider à retirer ses bottes. Comme on a riiii.




Et chez Philippe sinon ?
Pas grand chose
Isabelle est arrivée et s'est foutue la gueule dans une poutre en visitant la terrasse.
Philippe lui a sorti: "je t'avais dit que tu étais grande !"
Maintenant elle sait.

.


Puis ils ont trinqué.


Et Pascaline est arrivée dans son Alpine.


Et ils ont retrinqués.


Pour finir j'ai capté une image strangy que je sais pas si c'est de la pub pour la semaine prochaine où s'ils ont vraiment fait ce truc étrange au petit matin.
Je sais pas.
Mais voilà.

(et Philippe c'est celui du milieu)




Terminons avec ce brave Patrice, en train de remplir son lave-vaisselle.


Pat est content et décontracté, et il le dit.
Même qu'on le retrouve en train de siffler à l'aéroport en attendant ses prétendantes.


Elles arrivent.
Voiture et vitre crade.



Grues et arc-en-ciel.


Bon il y a eu des allers retours toussa parce qu'elles ne sont pas arrivées à la même heure mais finalement on se retrouve by night dans la voiture, et Patrice dans la conversation leur dit.

" Bon par contre je vais vous épargner ma tenue pourrie à la maison, ça sera déjà pas mal.
...
C'est à dire, c'est tablier et calebard quoi." 







Elles ne réagissent pas.

Ils arrivent.
- Oooh la petite maison dans la prairiiiiie hihihi
- Oui, Charles Ingalls c'est moi hahaha

Ils poussent la porte.
Et là.


Il y a un petit personnage.
C'est un ami de Patrice nous dit-on. Certainement qu'on nous donne son prénom mais je ne l'ai noté nulle part dans mes dossiers. Donc nous l’appellerons Nez-Nez.
Bon très bien. Mais bordel qu'est-ce que tu fous là Nez-Nez ? Eh bien,comme son nom l'indique, Nez-Nez est parfumeur et il est là pour "concocter aux filles une fragrance sur mesure".
Une petite animation comme dans Un dîner presque parfait, ça fait plaisir ou ça fait pas plaisir ?
Bah ça fait plaisir.

Il commence donc avec prétendante numéro 1 (dont je n'ai pas non plus noté le prénom mais qui a une très jolie combinaison fleurie)


Puis il enchaine avec prétendante numéro 2 (non plus...) et se met à faire des trucs trop chelous au-dessus de sa tête.


Il lui demande comment elle se sent. Elle lâche tout. Elle raconte qu'elle ne se sent pas bien. Que Patrice ne la regarde pas.
Nez-Nez lui prête son oreille.

Pendant ce temps, Patrice et combi fleurie fument sur la terrasse.



A suivre...




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