vendredi 6 juillet 2012

Emission 1

Leur portrait a été diffusé au mois de février sur M6. Depuis ils ont séduit, reçu du courrier, speed daté et invité deux célibataires à passer une semaine dans leur exploitation.

Lors de cette première émission, quatre de ces agriculteurs ouvrent enfin leur porte...

Entrons directement dans le vif du sujet et retrouvons Michel-Edouard en slob dans sa salle de bain.
Petite ambiance SF avec cet agriculteur qui, a priori, vient de se laver la bite et qui se met à parler comme Maître Yoda. Coïncidence ? Je ne pense pas.







      " Un peu en retard je suis."










Et c'est un Michel-Edouard tout pimpant qui accueille Brigitte au sortir de son train.
Brigitte rit. Comme une hyène.
Mich-Ed boîte sur le quai. On dirait Grand Corps Malade. Le slam ne viendra pas mais Brigitte rit quand même. Et rit encore.


La rumeur dit qu'elle aurait consommé des champignons hallucinogènes ultra puissants lors d'un week-end à la campagne en 1987 et qu'elle subirait depuis de fréquents retours d'acide. De l'ordre d'un par minute. Ce qui est assez énorme.

Mais Michel-Edouard ça le rend heureux tous ces sourires. Ça lui met de la chaleur dans son cœur. Il en oublie le temps.


Et il en oublie Josiane.


Heureusement Jojo a bon caractère et elle ne lui tiendra visiblement pas rigueur de son retard.

C'est donc joyeux et joyeux que l'homme au slaïp noir ramène Josiane et Brigitte dans son auto, direction la ferme.
Josiane et Brigitte. Tout de même, ça plante un décor.



Du côté de chez Dany l'accordéoniste, les chambres sont prêtes et c'est Héléna qui a le plaisir de visiter son charmant petit chalet et de choisir, puisqu'elle est la première, sa charmante petite chambre.


Bien vite il est question d'aller chercher Sylvie à la gare et c'est dans la voiture que le couple fera plus ample connaissance.
Héléna lui dira : " D'après le portrait t'as un caractère très fort. Et moi aussi !"
Dany lui répondra: " Ah bon ? Ça parait pas comme ça, tu fais plutôt lopette."


Une fois Sylvie chargée dans l'auto, Dany décide d'emmener ses prétendantes au restaurant.



Ils y parleront certainement de choses transcendantes mais honnêtement je n'en ai aucun souvenir.
Cela dit je ne suis pas près d'oublier le visage de Sylvie à la lueur des bougies, vu que ça fait plusieurs jours que j'ai Candle in the wind dans la tête.




Chez Bertrand, l'homme aux mâchoires grippées qui est censé donner du fil à retordre aux culottes des  ménagères de moins de 50 ans, tout commence par une petite vaisselle. Tout doit être nickel et c'est, désinvolte, les mains sous un mince filet d'eau, qu'il nous dit:


"Je ne suis pas très ménage, enfin ch'uis ménage mais moins qu'une femme."










Enfin, sa première prétendante fait son apparition. Caroline.
 Bon, ne nous mentons pas, Caroline, Bertrand s'en bat un peu la rate. C'est qu'il fallait en choisir deux mais lui c'est surtout sur Justine qu'il a flashé.
Donc Caroline arrive, sonne à la porte et à peine a t-elle dit bonjour que:


Mais oui ma grosse ! Tu croyais quoi ? Que t'allais tout saloper gaiement avec tes godasses pleines de merde?


Mais attention, Bertrand n'est pas un rustre et il propose un petit coup à boire à Caroline avant d'aller chercher sa Justine. Vite fait par contre. Il s'excuse de la presser de la sorte mais bon, faudrait voir à ne pas arriver en retard.


Concentrée, Caroline boira son breuvage quasiment cul sec et sans vomir ira remettre ses godasses pourries sur le pallier.
Plus tard, mille et une étoiles viendront illuminer le regard de Bertrand lorsqu'il retrouvera Justine et ses mille et une dents ♥
Pour lui l'aventure commence enfin.


Dans la bebermobile, Justine mâche son chewing gum et fait des effets de cheveux. Elle dit qu'elle a elle-même confectionné des pâtes pour ce soir. Avec sa grand-mère. Vu qu'elle est italienne. Bah oui. Des lasagnes.
 "C'est un plat complet quoi, hihihi"
Elle dit ça en mastiquant grossièrement son Malabar, et ses lasagnes, on a soudainement envie de les lui faire bouffer par le cul. Mais Bertrand, lui, il est sous le charme.


 Arrivé à sa maison, en gentleman, il portera la grosse valise de sa belle jusqu'au salon


Tandis que Caroline, seule dans le vent, se débrouillera avec la sienne...



"Ah mais t'avais une valise aussi, j'avais pas vu !" Bertrand.









Et tandis que Caroline, contrairement à Justine, retirera une nouvelle fois ses pompes dégueulasses avant d'entrer.



Moi je dis que ça fait peine. Mais ainsi va la vie.
Ne reste plus alors qu'à regarder les lasagnes dans le four. Ainsi va l'amour.




Bon et sinon, que se passe t-il du côté de chez Jeanne ? Bah chez Jeanne c'est un peu la fête.
On découvre une jolie maison où il est question de se peler le cul, vu que Jeanne ne chauffe pas. Mais également une superbe trancheuse à jambon professionnelle.


Jean-Marie s'extasie devant des oeufs

"Ils sont magnifiques ! Jamais j'ai vu autant de blanc à un oeuf !"











et Lucien, bah ma foi il est plutôt content.





A suivre...



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